L'Île des Pins

Sourire kanakFemme en costume de fête
L'accueil qui nous est réservé restera un des souvenirs marquants de notre séjour sur l'Île des Pins. Le sourire et la gentillesse sont une leçon d'hospitalité. Dès que nous entamons le dialogue, nous rencontrons des personnes qui prennent le temps de partager des moments. En toute simplicité.

Nous nous souviendrons particulièrement du pot offert par la municipalité le 14 Juillet. Il est vrai qu'ici le Grand Chef cumule également la fonction de maire, ce qui explique peut être le très fort attachement à la France. Jour de foot
pour Antoine et Simon...
Uniques touristes à cette cérémonie officielle, notre présence ne passera pas inaperçue. Antoine et Simon en profiteront pour jouer au foot avec les enfant du village, tandis que nous apprécions les chants traditionnels que les femmes entonnent après quelques petits verres...
C'est à cette occasion que nous ferons la connaissance de Laure et Eric, sympathiques 'métro' de l'île chez qui nous déjeûnerons le midi.

Vestiges du bagne Vendeuses dans leur boutique
Si l'histoire de l'île est beaucoup moins marquée par le bagne que ne l'est celle de la Guyane, la Nouvelle Calédonie, était -et on le sait moins- la seconde place forte du bagne français. C'est ainsi que furent déportés ici même, plus de 3000 bagnards, parmi lesquel les communards.
Dans les vestiges en ruine de cette histoire peu glorieuse, nous découvrons l'histoire de ces évênements et mesurons ce que l'expression 'l'enfer au paradis' signifie.
La plage de Kuto
Après une semaine fort agréable malgré une météo trop capricieuse pour qui serait venu uniquement chercher le soleil, nous quittons ce petit paradis à bord du Betico enfin réparé...
Direction Nouméa

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