Reportage suivantIntroduction au voyage...

Partir c'est mourir un peu, dit-on lorsqu'on se sépare de quelqu'un de cher. A 11 jours du départ, les au-revoir commencent à devenir difficiles. Une corvée qu'on ne peut éviter et qui se termine toujours de la même façon: parfois des larmes et souvent un gros poids sur le coeur de part et d'autre.

Yannick et l'ordinateur
Natashquan, QUEBECBizarre, ce sentiment de se dire qu'on ne va pas se voir pendant 3 ans, même si ce n'est pas tout à fait exact puisque beaucoup des nôtres projettent de venir nous voir au moins une fois sur notre parcours...

Malgré tout, c'est une part de nous-mêmes qu'on a le sentiment - à tort - d'abandonner. Notre rêve est-il égoïste? Nous ne le pensons pas, sincèrement. La vie est une succession de choix personnels, de décisions parfois difficiles à prendre, mais chacun se doit de construire SA vie en tenant compte de ses rêves. Les nier ou les rejeter est une des pires choses pour son propre équilibre.

Alors en ces instants de séparation, laissons parler ce qu'il y a en nous de plus fort même si cela se traduit parfois par des sanglots bien difficiles à apaiser, des étreintes qui en disent parfois plus long que les mots.

Et on dit partir vivre un rêve!... Ça commence bizarrement ce genre de chose... Reportage suivant